Au creux des montagnes

Non loin de la marche de Maedhros vivaient des Naugrims mené par Vidar.
Ceux-ci ne suivait aucun idéal, hormis amasser toujours plus derichesses. Il n'empêche qu'ils n'étaient pas fonçièrement mauvais mais ils pouvaient aider les Orques aussi bien que faire du commerce avec des Noldors.
Ces nains "rénégats" vivaient de l'argent et du bronze qu'ils extirpaient de la roche situé dans leur cité.

Leur forteresse était situé dans l'extrémité Ouest de la marche de Maedhros, dans un creux entre deux montagnes où poussaient peu d'arbres.
La porte de leur cité était de bois de chêne et gardée nuit et jour. Au dessus de celle-ci, il y' avait des meurtrières et à certains endroits des plateformes de pierre où avait été installé plusieurs balistes et
quelques nains les gardaient.
Cependant, bien plus à l'Est, le roi Durin souhaitait mettre un terme à la puissance croissante des nains sans allégeance.
Seulement son armée devait faire vite pour atteindre la porte avant qu'une troupe de rénégats qui était partit en patrouille ne reviennent renforçer leur citadelle. Et une fois renforcé, la forteresse des mauvais nains deviendrait presque imprenable.

A Durin: Donc à toi de poster, tu arrives à quelques lieues de l'armée
adverse qui est en marche vers la citadelle des rénégats. Seulement, les guerriers ennemis sont à quelques minutes de marche de la porte de leur cité.
Ils avancent à travers la caillasse, des sapins cachent ton armée à la vue ennemi.
Tu ne sais pas exactement combien il y a de guerriers rénégats car il fait sombre.

AULÉ.

Durïn avait sufisament de puissance pour raser la cité de commercant sans honneur, il sera victorieux, c'était évident.
Alors que la compagnie Naines du Khazad-dûm se rapprochait, son second, Grabün la taupe, armée uniquement d'une dague mais très bon stratège, dit a Durïn:

Il nous faut faire un choix, Seigneur. Soit nous préparons une embuscade ici et affrontons l'amrée ennemie; soit nous attaquons la forterresse et tentons de la prendre avant que l'armée n'arrivent, mais ce dernier choix est risquée, Sir.
Si la cité ne tombe pas rapidement, nous serons pris entre 2 front et cela en terrain découvert.
Depecher de choisir, le temps nous presse!

Prépare les troupes. Les renégats ne s'attende pas a une attaque, et leur cité tombera avant l'arrivée de l'armée ennemie.
Donnez les ordres, Grabün.
250 Gardes de Khazad se place discretement dans la foret et protege et surveille l'arrivée des renfort renégats. Si l'armée arrive, il defende uniquement et fuit si il ne peuvent plus tenir.
Les lanceurs de hache se rapprochent, toujours dans le couvert des arbres, a porté de tir des garde et des Nains aux balistes.
Les 50 gardes qui reste se mette sous mes ordres et attende que les lancier est commencée a tirer et que je commence a charger pour me suivre et prendre la cité.

Si la cité est prise, prépare toi a courir prevenir les gardes de revenir a toute allure dans la cité, et prépare aussi des gardes pour bloquer la porte.
La bataille commence!

La stratégie imposée par Durin fit l'unanimité et ses guerriers se rendirent à leur poste.
Les lanceurs de haches se précipitèrent vers la porte de la forteresse
adverse et les rénégats qui ne s'attendaient pas à une attaque, ne
ripostèrent pas tout de suite.
Cependant, la troupe ennemie qui était hors de la citadelle ne mirent pas longtemps à tomber sur les 250 gardes Khazâd.
Il n'y eut pas d'embuscade mais une sérieuse bataille fratricide se déroula dans les bois de pins.
Les rénégats étaient bien une centaine et pleins d'ardeur, ce qui fit
trembler la garde Khazâd, mais ceux-ci tinrent tête à leurs ennemis
avec bravoure.
Qu'allait faire Durin?

Le nombre de morts est inconnu et il semble qu'aucun des deux protagonistes ne gagne les premiers combats.

Durïn réflchissait a la situation.
L'ennemie était au courant de l'attaque maintenant, mais l'attaque surprise des lanceurs de hache avait marché, et les baliste serait plus longue a recharger, surtout que les lanceur de hache continuait de tirée et que les Nains au baliste était donc forcé de se mettre a couvert sous peine de mourrir.

Pendant ce temps, Durïn avait préparé un belier de fortune pour quatre soldat.
Alors qu'il réfléchissait a sa qu'il fallait faire, Grabün arriva.

Mon seigneur, les Gardes de Khazad combatte la patrouille renégat a l'orée de la foret. Quelle sont les ordres?

Allez dire au soldat qui combatte la patrouille de se replier vers la forterresse immédiatement.
Pendant ce temps, moi et les 50 autre Gardes, allons attaquer la forterresse. Avec le belier de fortune, nous casserons en quelque coup la porte, et peu d'entre nous devrait tomber car les Nains au baliste sont sous le feu des lanceurs de hache et en sous-nombres.

Ainsi, une fois la porte cassez, moi et les 50 Gardes Khazad turont les gardes au porte et dans la forteresse.
En même temps, les lanceur de Hache se placeront au baliste et au meurtriere, et les 250 Gardes,ou ce qu'il en reste, penetrerons dans la forterresse, et le combat se fera ainsi sur un front de 4 hommes, et aidé des lanceur de hache.

Mais il faut que nous cassionla porte en peu de temps, car sinon, nous seront pris en deux feu, ecrasé d'un coté par la patrouille et de l'autre par les quelque baliste qu'il reste.
Va vite donnez les Ordres.

Puis, Durïn se tourna faire ces 50 Gardes, et dit:

Aujourd'hui, nous vainquerons, pour les Valar, pour la vengance et pour le KHAZAD DUM. Avec moi soldat, nous chargeons.

Et les 50 gardes chargerent, le belier caché au milieu du bataillon, en criant, eu et les lanceur de Hache a l'unnissont:

POUR LES NAINS ET LA MORIA!!! HOUUUUUURRAAAA!!!!

[J'utilise le pouvoir ralliement]

Entendu!

La clameur de la charge de Durin se répercuta dans les montagnes et
tout les siens, où qu'il soit sur le champ de bataille l'entendirent.
Cependant, Grabün n'arriva pas à temps pour ordonner aux gardes Khazâd
de se replier vers la forteresse ennemie. Ceux-ci avaient réussi à
repousser les rénégats hors des bois de sapins et ils les poursuivaient
à travers la caillasse.
Quand aux lanceurs de haches, ils décimèrent les mauvais nains qui
étaient aux balistes, mais des flèches surgirent des meurtrières et
touchèrent plusieurs porteurs du bélier de Durin. Il y'avait sans aucun
doute une troupe de rénégats caché dans leur forteresse.

PERTE(Durin):
-34 gardes Khazâd, la plupart jonchent le sol de la forêt de sapins.
-4 lanceurs de haches.

PERTE(Rénégat):
-37 guerriers.

AULÉ.

Alors la charge de Durïn arriva au noires portes des renégats et Durïn observa au nord.
L'armée n'arrivait pas. Les pertes serait plus nombreuses. Mais il était trop tot (ou trop tard) pour s'en vouloir, il a une bataille a gagner.

Le belier, arrivant enfin au porte, Durïn lui même remplacant l'un des porteurs de belier, et il frapperent. La force Herculéenne (competence special) lui permi de fracturé la porte, mais des Nains la bloquais derriere, sa se sentait.
Mais la porte était pres de casser, et au prochain coup elle le serait. Grabün atteignie enfin les troupes et l'ordres de replie fut donnée.

Alors, par une fracture dans la porte, Durïn utilisa la magie de sont amullette, et fit s'engoufrer la lumiere aveuglante dans la noires forterresse. Les soldat était aveuglée et la porte n'était plus protégée par les gardes. La porte allait cassée.

Alors Durïn s'engouffrerait dans la forterresse et les traitres allait payer au centuple leur trahisont...

La porte ne cédait pas. Les nains qui se trouvaient derrière tenaient bon et ils avaient plusieurs archers qui tiraient flèche sur flèche avec beaucoup de précision.
Soudainement, des meurtrières surgit un flot d'eau bouillante qui manqua de peu Durin.
Autour du roi de Khazâd-Dûm, les rénégats semaient la mort. Les corps des Naugrims s'amassaient en monticule et Durin pataugeait désormais dans l'eau bouillante, le sang et la boue.
Quand aux gardes Khazâd, ceux-ci revenaient de leur chasse, mais le massacre d'autres nains les
avaient profondément marqué et ils revenaient se battre sans ardeur.

PERTE(Durin):
-21 gardes Khazâd.
-11 lanceurs de haches.

PERTE(Rénégats):
-12 guerriers.

AULÉ.

Durïn était la, autour des cadavres de c'est troupes Naines. Il fallait réussir a rentrer, toute retraite leur était impossible maintenant.
Mais les pertes serait effroyables, de plus le nombres de Nain dans la cité était inexacte et les risques grand, mais a découvert les pertes serait encore plus effroyables.
Ces a ce moment qu'arriva Grabün:

Mon seigneur, il faut faire quelque chose, vite!

faite passez les lanceur de hache devant les portes, et fait mettre en demi-cercle les Gardes Khazad. C'est l'élite Naines que diable! Dit leur de se mettre en position resserer, en quinquonce, pour qu'il y est le moins de perte possibles.

certes mon seingeur, mais il feront moins de mort chez les ennemies.

Je le sais idiot! Ne me fait pas perdre mon temps, va donnez les ordres! Les lanceur de hache devant la portes, le belier en action, et les garde khazad en demi cercle autour.
Et moi je vais a leur tete, la lumiere aveuglant les ennemie par mon amullette(pouvoir).

Puis il crai a tout ces soldat:

Soyer fier et grand, vous etes l'élite des Nain de ce monde, l'une des troupes les plus redouter d'Arda! Vos ami sont mort, venger les! Faite que leur mort sois utile!

Que la lumiere vous accompagne et la que les force des Valar sois en nous!

Et une lumiere magique aveugla les archers, dérangea les ennemies, et ragardi les troupes da la Moria.

Rien n'étais perdu, les Nains était encore debout, fait d'un Roc plus dur que le mal!

La stratégie de Durïn fut couronnée de succès.
La lumière blanche produite par l'amulette du roi de Khazâd-Dûm éblouit les rénégats qui étaient aux meurtrières, ainsi l'habituelle pluie de flèches et d'eau bouillante ne retomba pas sur les naugrims de Durïn.
Profitant de cela, les porteurs de béliers se rapprochèrent de la porte et ils la frappèrent durement, un des deux battants s'écroula.
Cependant, les nains de Khazâd-Dûm ne purent se faufiler parmis les décombres du battants gauche car une quinzaine de rénégats se postèrent dans cette brèche.
C'est à ce moment là que le chef nain de la forteresse des rénégats décida de se montrer. Il vint avec sa bannière et un drapeau blanc.
Le rythme de la bataille s'éssoufla et tous s'arrêtèrent de combattre pour le regarder.
Ce seigneur nain était imposant par sa largeur, ses longs cheveux et son épaisse et longue barbe blanche qui traînait jusqu'au sol, donc dans le sang et les décombres.
Vidar était, malgré les circonstances, élégamment vêtu et il portait une épée de parade à son côté dont le fourreaux était orné de gemmes et d'or.
Le seigneur rénégat agita lui même le drapeau blanc qu'il apportait et descendit les décombres de sa porte, soutenu par deux autres nains.

Durin ne pert aucun guerriers tandis que les rénégats, dans la chute du battant gauche perdirent une poignée de défenseurs.
[i]

Durïn, alors qu'il était au devant de c'est troupes, et que la bataille faisait rage, entendit un bruit sourd retentissant. Un battant de la porte était tomber.
Alors qu'il faisait demi-tour et s'appretait a charger, il vit le Chef des renégas avec un drapeau blanc. Il ordonna d'arreter de combattre, et en peu de temps, le calme et le silence régna sur la plaine.
Puis Durïn parla, d'une voix dur et autoritaire:

Moi, Durïn trompe la mort, massacrerai tout les Nains renégats a moins qu'il ne se rende. Vous avez trahi le Khazad et etes passé dans le coté de Melkor.

Moi je propose ceci: Servez moi et je vous pardonnerais vos faute. Qiand dite vous?

Le seigneur rénégat vint se planter en face de Durin et il déclara de sa voix profonde et gutturale:
"-Je n'ai jamais trahis Khazâd-Dûm puisque je n'ai jamais eu de rapport avec elle, Durin.
Je ne suis passé dans aucun camp, je suis celui de mon maître Hurdin et bientôt, il volera à mon secours, soyez en sûr."
Durin n'eut pas le temps de répondre car un de ses éclaireurs revint, haletant, interrompant ainsi la discussion.
"-Sire! Une armée menée par le roi Hurdin le rénégat s'approche de nous, ils sont des milliers!"

A Durin de poster puis Hurdin.

Etait-ce la un piege? Les renegats n'avait aucune armée dans la région, et de plus, la rapidité de leur venu portait a confusion.
Néanmoins, en admettant la réalité de c'est propos, l'heure était grave pour Durïn. Aucun renfort de Moria n'arriverait plus maintenant.

L'heure était tardive et le retour de Durïn peu connu. Seul un ENORME coup de chance pourrai renverser cette bataille.
C'est négociation, probablement faite expres dans ce but, avait fait perdre du temps au Nains de Khazad.

Par conséquent, Durïn n'aurai probablement pas le temps de prendre la forterresse, et encore moins de préparer, même sommaire, une défense, avant l'arrivée de Hurdin, si un tel Nain existe.
Mais vérifier cela, c'était risquer le suicide...
Durïn n'avait plus beaucoup de choix, et les cartes qu'il avait en mains s'amenuisait. La surprise avait été perdu, et il c'était lui même arranger pour être encercler!

Durïn a toujours été tros bourru et bourain, tout le monde savait cela. Mais peut-être était-ce la sa derniere bataille.

Ainsi il devait faire un choix. Il réflechissa tres vite, car le temps pressait: Charger dans des milliers de traitre ne lui parraissait pas exclu. Mais les chance de passer en force et de fuir était mince, et les troupes qui arrivait était fraiche, et celle de Durïn fatiguée.

Il excluait donc une de c'est rare possibilitée.

Il pouvait aussi prendre la cité, mais si elle ne tombait pas avant l'arrivée des renfort ennemie, le Roi ne serait plus. Durïn, apres c'etre dit cela, eu une derniere pensée.
Il avait la la meilleur possibilitée. La porte était brisée, les gardes de Khazad fort les lanceur de hache tirai au dessus des tetes et tuai tout. La cité tomberait, c'était certain. Peut-etre meme suffisament tot pour la fortifier un minimum.

De plus, si se soit disant Hurdrin était une ruse, il tiendrait suffisament longtemps pour le savoir.
Puis discrètement, de maniere a ce que seul Grabüne entendi, il dit:

Garbün, va dans les Royaume avec qi nous etions amis anciennement, porte leur ce message: les ancienne alliances doivent tenir, Durïn appelle a l'aides!
Ma vie et celle de tous ici depend de toi, montre nous ce que célérité veut dire! .

Et, a une vitesse irréel, il disparu dans le lointain. Puis il dit a c'est Nains, sans respecter aucune convention, car c'était des traitre et il ne le méritait pas, il cria:

Tuer les tous! Pour notre VIE, soyons Victorieux!!!

Et, par surprise, les hostilitées reprirent, Durïn a la porte, maintenant, pour faire tomber la cité au plus vite, et les lanceur de hache tirant de toute leur force. Le chef Nains évita une hache au dernier instant, mais tous n'ont pas eu la meme chance.

Ainsi reprennait la bataille des Nains contre les Nains, et peut etre ainsi en était celer l'issue...

Petit message de ma part puis ensuite à Hurdin, à
Eol et à Durin. Cependant les deux rénégats ne peuvent pas attaquer de
suite, ils approchent leurs armées, se positionnent...

Durin
était en effet pressé par le temps mais la nouvelle attaque qu'il
venait de lancer sur la citadelle des rénégats était lâche. En pleine
négociation, attaquer!
Ainsi, Vidar, chef local des mauvais nains perdit la vie et son corps fut piétiné dans la ruée vers la porte.
Les
rénégats furent surpris mais la mort de leur capitaine, un proche
parent de Hurdin(si tu es d'accord Hurdin) les animèrent d'une rage
sans égale dans les terres froides du nord. Les mauvais nains tinrent
position.

[Je suis d'accord, pas de problème Au creux des montagnes Icon_smile

]

Hùrdin, entouré de sa garde de Vétérans, assista à la mort de Vidar. Ce fut une scène qui resta longtemps gravé dans sa mémoire : le nain luttant avec deux gardes contre les soldats de Durïn...la tâche rouge qui s'étendait rapidement sur ses vêtements...son corps sans vie gisant sur le sol...Et Durïn, fier de son triomphe, qui osait encore appeler Hùrdin et ses loyaux soldats traîtres...Le Seigneur nain, enplie d'une détermination nouvelle, hurla un féroce cri de guerre qui renforça les ardeurs guerrières de son armée. Hùrdin se jura en silence d'avor la peau du meurtrier qui lui faisait face, pour les innonbrables crimes qu'il avait commi contre sa famille et son royaume.

Ralliant les nains en déroutes, l'armée s'avança vers celle de Durïn. Il n'y aurait plus aucune négociation, ni aucune pitié...

Tous les regards portaient vers les deux protagonistes nains, qui n'allaient pas tarder à s'affronter en une sanglante bataille... Eöl et sa force de cavalerie assistaient à la scène, impassibles, depuis une colline, quelques trois cents mètres plus au nord. Le seigneur des elfes rénégats se tenait, sur sa monture, au beau milieu de l'élite de Caragdûr, elle-même entourée de rangs de cavaliers lourds... ILs étaient prêts, quelle que soit l'issue de la bataille à venir. Les elfes sombres triompheraient, et avec eux, le camp qu'ils soutenaient...

Pensif, Eöl ordonna d'un geste de la main à ses chevaliers du croc de saisir leurs arbalètes légères, et d'attendre son signal pour ouvrir le feu sur les nains de Durïn.

Il réfléchissait : s'engageraient-ils en personne dans la bataille ? C'était encore à voir... peut-être déciderait-il de préserver ses troupes, quitte à ce que cela se passe aux dépens de son "futur" allié...

Durïn, a la tête de ses unités, tentais tjours desperement de penetrer dans la forterresse des Nains renégats. Mais il était assez content a vrai dire, car ils étaient en superiorité numérique et mieux préparé et armée pour la guerre.

Le battant ayant cedé peut avant les négociation et l'attaque, et les Nains, Durïn en tête, attaquant la porte pour prendre la forterresse, allait gagner d'un instant a l'autres.

Mais a se moment précis, Grabün, qui était parti demandé l'aide des royaumes alentour et des grand Roi d'Arda, revint:

Maitre Durïn, me revoila, dit-il essouflée et épuisée de son voyage.

Je le vois bien! Qu'elle est la situation.

Mauvaise, mon seigneur. Alatar a, celon vos desirs, acheter des troupes et préparée vos villageois a la guerre. Mais, malgré la marche forcée imposée au troupes, le voyage est long et personne ne peut ma suivre a la course.
Les Roi n'ont rien repondu clairement et si il vienne, j'ignore qui et quand ce sera.

Quand a la bataille ici meme, je ne sais pas encore ce qui sait passer durant mon absence mais je sais se qui se passe maintenant. Eol le noires est pres a chargée en haut d'une colline avoisinante, je l'ai vu au retour.
Et Hurdin, contrairement au insinuation porté par le chef de cette forteresse, l'armée de Hurdin est insinifiante, et n'est formée que de troupes de bases, qui seront litéralement broyée apr nos troupes d'élite.

De plus, les armée de Eol, bien que nombreuses, sont pour l'essentiel de la cavaleries.
Si vous penetrer dans la forterresse, la porte tiendra aisement, protegée en plus par les baliste et les lanceurs de hache.

Peut etre aurions nous put gagné meme sans la futur aide d'Alatar.

[i]Ayant entendu cela, Durïn retourna se battre au porte, tuant la maigre défense de sa lourde hache a double tranchant et apeurant l'eenmie avant meme de lui chargée dessus.

Peut etre Durïn était il un bourrin, mais néanmoins, sa techniques payais parfois!

Contrairement à ce que pensait Durïn, la défense de la porte était solide et les flèches, l'eau bouillante et les pierres pleuvaient sur les guerriers de Khazâd-Dûm.
Soudainement, des immenses traits venu des plate-formes au dessus de la porte traversèrent les rangs des Naugrims de Durïn causant bien des pertes.
Sur une colline, non loin de la citadelle des rénégats, s'avançaient l'armée coalisé d'Hurdin et d'Eol.
Elle était nombreuse et elle possédait bien des chevaux qui pourraient renverser la situation en quelques instants.

PERTE(DURÏN):
-28 Gardes Khazâd-Dûm
-16 lanceurs de haches.

A Durïn de poster une nouvelle fois, puis Hurdin et Eol.

Durïn observait l'horizon. Il vit plusieurs chose: Il y avait au loin, les 2 armées de Hurdin et de Eol le noires qui marchait sur la forterresse.

Et rien d'autre. Aucun Roi n'avait répondu a l'appel a l'aide. Et meme c'est propre troupes était trop lente.

Puis il se retourna. Cela faisait plusieurs heure maintenant que la bataille avait commencé, et pourtant, malgrée que la patrouille soit en dehors de la citée, et que les maigre défense de la forterresse avait ete par deux fois prise apr surprise, la citée tenait.

Quelque magie ou sortilege doit proteger ces soldats ou alors rien de tout cela et de cette bataille n'est réel, pensa Durïn.
Puis, n'ayant de toute maniere plus le choix maintenant, les cavaliers d'Eol étant trop près pour envisager une fuite réaliste, le combat continuait.

Durïn dit solenellement a Grabün:

Si la bataille dégenere, si plus aucun espoir de victoire n'est envisagable, si la lumiere de mon talisman et la force de ma hache m'abandonne, je veux que tu fuit, a la vitesse iréel dont tu a le secret.

Je veut que tu te dirige vers Khazad-dûm, Grabün, et si je meurt ou suis portée disparue, annonce au peuple Nains que Alatar est le nouveau Roi du Khazad.

Pour le moment, tu vas t'eloignée et regardée la bataille depuis une colline. T'as vie ni sera plus en danger et tu connaitra l'issue de la bataille y participer.
Va maintenant!

Puis Durïn, cria de sa voix puissante et grave:

Les bons Nains vainqueront!

Juste avant de se lancée une fois de plus a l'assaut de la porte.

Hùrdin le Sombre, roi incontesté des clans nains, se hissa sur un promontoir. En plissant les yeux, il observa l'armée de son ennemi et le meurtrier d'un membre de sa famille. Alors qu'une haine et une rage sombre montaient en lui, il se tourna vers ses loyales troupes, qui jamais ne l'abandonnerait :

"Mes amis ! Voici devant vous les traîtres, le ramassis de lâches qui saccagent nos territoires en masscrants nos parents et amis ! Voici devant vous Durin le Meurtrier, qui dans son infâme traîtrise osa violer les loi de la parlementation ! Aujourd'hui, mes amis aujourd'hui nous lui feront regretter son actes détestables ! Mes amis, vengeons-nous ! Vengeons-nous de nos ennemis ! Qu'ils meurent tous !"

*Mais Durin est à moi* murmura Hùrdin.

Les troupes naines se jetèrent sur leurs ennemis et s'engegea la bataille alors que le seigneur Hùrdin se frayait un passage en direction de Durin...

Durïn, définitivement bloqué devant les portes, cessa le combat. Il observa ses troupes, et il vit se qu'il redoutais. En véritée, il le savait, il n'était pas idiot, mais il n'avait pas voulu le croire.

C'est troupes mourrait devant c'est yeux. C'est soldat se faisait décimée, c'est lanceurs de hache n'avait presque plus rien a lancée, c'est Garde de Khazad était épuisée ou mort.

Il ne gagnerait plus maintenant, la chance l'avait abandonée, tout espoir l'avait abandonnée.

Il allait mourir si il restait. Aucun Roi n'était venu. Les Nains était seul. Il fallait fuir. Durïn pleurait amèrement. Il ne pourrai pas fuir avec toute c'est troupes. Il allait devoir laissée mourrir c'est troupes.
Sa premiere bataille était un échec. Jamais Durïn n'oublirai la bravoure de ses soldats. Jamais il n'oublirai tout les Nains mort inutilement ici.

Il se dit a lui même:

Je me vengerais, même si je doit y passée l'éternitée, je me vengerais...

Alors Durïn cria, et sont crie resonna au plus profond de la vallée, les tresaillement de sa voix, du a sa tristesse, se repercutait contre les parois de pierre de la forterresse:

Soldat, Nain, fuyez. Fuyez pour vos vies, suiver moi a travers les arbres, courrez. AVEC MOI FRERE NAIN!!! A Khazad Dûm!!! SAUVONS NOS VIE!

Alors Durïn, avec toute la force qui lui restait dans c'est jambes, chargea dans ce qui restait de la patrouille, avec a sa suite tout ce qui restait de l'armée. Il coururent comme il n'avait jamais couru, esperant que les cavaliers d'Eol ne tenterais rien, ou les Nains n'aurai plus de Roi...

Depuis sa colline, Eöl observa le courant de la bataille, qui aurait dû être plus âprement disputée pour qu'il intervienne personnellement : les nains étaient en déroute ! Ils fuyaient vers le sud, et leurs demeures de pierre !

Avisant qu'Hurdin et ses nains ne pourraient jamais les rattraper aussi bien que ses cavaliers, Eöl se tourna vers son héraut :

"Lumbar, je veux que tu prennes avec toi tous mes cavaliers lourds. Vous serez alors près de deux fois plus nombreux que les fuyards. Je veux que vous capturiez le plus possible de nains de Khazad-Dûm : assomez-les dans leur fuite, ou blessez-les légèrement. Ensuite, que chaque cavalier revienne avec un nain prisonnier."

Puis, après une hésitation, il reprit :

"Je vais parler à Hùrdin, et voir cette fameuse alliance qu'il projette."

Lumbar aquiesça, et tous les elfes lancèrent leurs montures au galop, les cavaliers lourds suivants le héraut d'Eöl, et les chevaleirs du Croc escortant le souverain de Caragdûr.

En quelques instants les cavaliers d'Eol arrivèrent, mais si il n'y avait pas eu la boue, le sang et les corps, les nains de Khazâd-Dûm auraient été balayé.
Ainsi, la plupart des naugrims de Durin parvinrent à s'échapper.
Cependant, ils rencontrèrent la troupe de rénégats que les gardes de Khâzad avaient chassé il y'a plusieurs heures.
Ceux-ci formèrent une ligne qui barra la fuite de Durin et des siens, mais l'armée de la Moria était déjà dans les bois, une chance.

PERTE(Durin):
-12 gardes Khazâd.
-6 prisonniers.

PERTE(Eol):
-4 cavaliers lourds.

PERTE(Simple nains rénégats):
-6 guerriers.

Les cavaliers D'Eol ont réussi à faire six prisonniers parmis les lanceurs de hache de Durin.

A Hurdin de poster, puis Durïn, puis Eol.

Hùrdin lança ses troupesnà la poursuite des fuyards nains, tout en gardant une garde d'honner. puis il parla à Eöl :

"Eöl le Noir...Je te remerci de l'aide que tu m'as apportée. Je suppose que tu attends que je te donne les termes de notre alliance. Ils sont au nombre de trois :

Tout d'abord, les aides militaires à apporter à l'allié dans le besoin.
Ensuite, l'éventuel commerce.
Puis, le pacte de non-agression.

Es-tu d'accord ?"

Pendant que les Rois délibéraient et s'alliaient, Durïn fuyait, son armée avec lui. Et il pensait.
A cause de sa maladresse, le Mal s'alliait et des alliances était formées.

Il avait voulu affaiblir le mal en cette région, il l'avait accentuée. Cette alliance était le début de la fin du bien, par sa faute.

Le mal avait profité de lui, il était le déclencheur de l'accentuation du pouvoir de Melkor.
Il mit ces pensées dans un coin de son esprit et continua a courrir, ces troupes le suivant.

]EDIT, Aulé: J'ai corrigé ton Rp, 5 fautes pour ta première phrase, ça faisait vraiment beaucoup.

La fuite dans les bois fut longue et périlleuse pour les Naugrims de Durïn qui parvinrent à s'en extraire sans trop de perte.
Cependant, les pertes totales étaient lourdes...

Durin a réussi à s'échapper.

PERTE(Durïn):
-24 gardes Khazâd
-18 lanceurs de haches.

PERTE(Hurdin):
-21 miliciens/bannis.

BUTIN(Hurdin et Eöl):
Les guerriers d'Hurdin et d'Eöl ont rassemblé les armes et les bijoux de tout les morts: 4650 pièces d'or leur sont remise, 50/50 chacun.

Durïn ne ramène aucun butin, mais gagne 85 pts d'expérience en matière de combat et 10 en matière de commandement.

Eöl et Hurdin gagnent 30 pts d'expérience en matière de commandement.

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Eöl et Hurdin peuvent continuer de Rp ensemble et si il faut éditer quelque chose, je suis là.

AULÉ.